Une fois de plus, une fois de trop, le cas Thomas Thevenoud vient rappeler qu’au delà des discours lénifiants et faussement compassionnels (comme on dit aujourd’hui pour gommer la condescendance du terme compatissant) les 5000 professent un profond mépris pour le peuple.
À eux les ors de la République, les logements, chauffeurs et domesticité, déjeuners offerts, chaussures cirées à domicile, sinécures royalement payées, cumul d’indemnités et autres avantages fiscaux…. À eux la phobie administrative…. À nous l’Administration ! À nous les impôts !
Le député Thevenoud grand phobique parmi les 5000, membre de commissions fiscales au Parlement, partisan de nouveaux impôts, pourfendeur de la fraude fiscale (lui aussi !) invoque la négligence, le manque de temps pour déclarer et payer, bref pour s’acquitter de ses obligations fiscales les plus élémentaires. À l’entendre, il serait comme le cordonnier qui est toujours le plus mal chaussé, car chacun sait que se faire matraquer par l’impôt est un confort voire un luxe dont un 5000 n’a pas le temps de jouir. Ce dernier trait dénonce un cynisme effarant. En plus, il nous prend (ils nous prennent) pour des imbéciles. Aux yeux des 5000, rien de plus normal puisqu’ils sont la crème de la crème, et nous des … sans-dents.
Le mot est lâché. Terrible, dévastateur, au premier abord incompréhensible. Il faut faire un effort pour réaliser qu’il s’agit d’un mot d’esprit. Les sans-dents sont les pauvres.
On pense alors aux SDF au sourire (?) édenté que par leur gestion calamiteuse de la France, les 5000 ont jetés dans rues, disputant le trottoir aux faux mendiants vrais professionnels estampillés Schengen.
Le groupe de ceux qui se sentent visés ne s’arrête pas là. Les 5000 ont aussi au nom d’une pseudo solidarité, qui n’est qu’un prétexte pour gérer et digérer des fonds de plus en plus considérables et improductifs, créé une société du chômage exponentiel, où se soigner devient un luxe, en particulier quand il s’agit des dents.
Les 5000 auraient tort de se gêner, tous les Français sont des sans-dents puisqu’ils se soumettent sans même faire mine de mordre. On les préférait quand ils étaient sans-culottes.
À eux les ors de la République, les logements, chauffeurs et domesticité, déjeuners offerts, chaussures cirées à domicile, sinécures royalement payées, cumul d’indemnités et autres avantages fiscaux…. À eux la phobie administrative…. À nous l’Administration ! À nous les impôts !
Le député Thevenoud grand phobique parmi les 5000, membre de commissions fiscales au Parlement, partisan de nouveaux impôts, pourfendeur de la fraude fiscale (lui aussi !) invoque la négligence, le manque de temps pour déclarer et payer, bref pour s’acquitter de ses obligations fiscales les plus élémentaires. À l’entendre, il serait comme le cordonnier qui est toujours le plus mal chaussé, car chacun sait que se faire matraquer par l’impôt est un confort voire un luxe dont un 5000 n’a pas le temps de jouir. Ce dernier trait dénonce un cynisme effarant. En plus, il nous prend (ils nous prennent) pour des imbéciles. Aux yeux des 5000, rien de plus normal puisqu’ils sont la crème de la crème, et nous des … sans-dents.
Le mot est lâché. Terrible, dévastateur, au premier abord incompréhensible. Il faut faire un effort pour réaliser qu’il s’agit d’un mot d’esprit. Les sans-dents sont les pauvres.
On pense alors aux SDF au sourire (?) édenté que par leur gestion calamiteuse de la France, les 5000 ont jetés dans rues, disputant le trottoir aux faux mendiants vrais professionnels estampillés Schengen.
Le groupe de ceux qui se sentent visés ne s’arrête pas là. Les 5000 ont aussi au nom d’une pseudo solidarité, qui n’est qu’un prétexte pour gérer et digérer des fonds de plus en plus considérables et improductifs, créé une société du chômage exponentiel, où se soigner devient un luxe, en particulier quand il s’agit des dents.
Les 5000 auraient tort de se gêner, tous les Français sont des sans-dents puisqu’ils se soumettent sans même faire mine de mordre. On les préférait quand ils étaient sans-culottes.